Hier il s’est produit un truc qui m’exaspère au plus haut point : j’ai répondu pour l’interroger à un parti politique, ils m’ont aussitôt bloqué. Ce sont des méthode que Nadine Morano , Christine Boutin et quelques autres individus du même genre ont fait. Ce n’est pas comme les listes de blocages : c’est du blocage direct.
Et ce n’est pas la LFI, non pas du tout ou le RN. Voyez l’objet du délit qui date d’hier.

Je vais en vélo dans ce bois de Vincennes . J’y vais aussi en marchant, et en courant (par exemple pendant le confinement). Il m’est arrivé d’y aller en bus pour cause d’orteil en panne. Et avec ces différents moyens de déplacement j’arrive à aller dans ce bois à peu près 200 fois par an , parfois 300 fois. Je peux même y faire du vélo quand il fait 1°, et y faire jusqu’à 30 km de vélo. On y accès par 3 pistes cyclables : Saint Mandé, porte Dorée et porte de Charenton. Impossible d’en faire une de plus, c’est ainsi.
A première vue Place publique prépare la campagne municipale à Paris, et balance des slogans.
Leur réponse a été rapide :

J’exclue donc de voter pour eux1 et pour tout candidat issu de leur rang.
Il me semble qu’ils ignorent un truc au sujet de ce poumon vert : Il est aussi le lieu d’habitation de plus en plus de SDF qui y font du camping pour avoir un habitat. Et j’en vois de plus en plus. Ils ne sont pas seuls et abandonnés complètement : La ville de Paris et Emmaus font des rondes, peut-être que d’autres associations (Samu Social) font du suivi de ces personnes, je ne parle que de ce que j’ai déjà vu. Et c’est honteux, une partie de ces gens la travaillent ! Et tous ceux qui sont là ne peuvent pas se loger dans Paris intra-muros.
Le journal Le Monde en avait trouvé qui avaient travaillé .. au noir.
Pour survivre, certains font la manche, d’autres de la récup, chinent, aident sur les marchés, comme Ali. « Avant, je bossais dans le bâtiment, mais les patrons sont devenus des esclavagistes. Comme il y a de plus en plus de gens prêts à tout pour quelques euros, ils te font trimer toute la journée pour 20 euros ! » On rencontre aussi des personnes travaillant au noir épisodiquement, voire régulièrement. « Quelques habitants sont des quasi-salariés », confirme Pierre Dereux, du Secours catholique. Sur les 62 personnes orientées par Emmaüs solidarité vers un hébergement en 2015, 63 % étaient sans ressources, 26 % percevaient le RSA, 6 % une retraite.
StreetPresse en a rencontré d’autres dont des travailleurs de l’est de l’Europe qui ne peuvent pas se loger dans la ville.
https://www.streetpress.com/sujet/1576494995-les-sdf-bois-vincennes-sans-abris-paris-migrants
Il faudrait peut-être reconnecter ces gens à la ville non ?
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- LREM/Renaissance m’a censuré dans un forum où je posais une question sur le manque de médicaments psychotropes. ↩︎