C’est sans doute le bordel sur Twitter rebaptisé X depuis que Melon Musk libertaré, le contrôle. Mais ils ont rajouté en français, une option intéressante, les notes de la communauté. Ceci permet à des gens inscrits à ce service (faut répondre à certains critères, je ne les remplis pas semble-t-il) de noter un post (tweet) en y rajoutant des informations contextuelles. C’est pratique pour répondre à une fake news. Ce qui est très drôle c’est que des utilisateurs “notent” des publicités et dénoncent le cas échéant du drop-shipping de breloques chinoises à 1€ revendues hors de prix….
Moi je peux juste noter les notes c’est à dire valider la note en disant qu’elle contient des choses vraies, qu’elle comporte un lien HTTP d’information, a un langage neutre et impartial etc… c’est un jeu agréable et utile auquel je m’adonne dans la joie et la bonne humeur.
Un twittos a regardé le nombre de notes de la communauté par parti politique présent au parlement et caramba ! Quelle surprise, qui se fait le plus corriger par la communauté ? LFI et EELV les plus gros diffuseurs d’informations erronées. Et Sandrine Rousseau a pris 8 corrections… elle doit avoir le postérieur qui chauffe.
A noter que pour Sandrine Rousseau c’est du harcèlement de la corriger, il faut dire qu’elle est adepte de la désinformation régulière et se fait corriger par des twittos. C’est un personnage politique, une élue : si elle appelle harcèlement la réponse par des électeurs alors qu’elle ferme sa gueule et change de métier.
Le plus drôle c’est qu’un des politiques les plus corrigés par des notes n’est pas au parlement. Le pauvre andouille n’avait eu qu’une signature pour se présenter à l’élection présidentielle, c’est l’inimitable Philippot. Il défonce tout le monde en terme de corrections, tant c’est un robinet à fakenews.
BFMTV a interrogé des politiques de gauche, les plus ciblés par les notes et voilà que ça gémit ou explique que c’est un “nouveau espace de lutte” pour un LFI décidément engoncé dans son blougiboulga marxiste. Ces gens là ne comprennent le débat que dans le sens top-down avec des électeurs priés de ne rien dire (sinon c’est du harcèlement ?) . Bientôt on va les entendre bramer “on ne peut plus rien dire“.
A noter que le gouvernement lui-même a été corrigé par des notes.